#brett maline
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marcovaleyeah · 12 days ago
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29.12.24
#Marco-Marathon | MCU
TV series Name: Loki | Season 2 (2023); Production studios: Marvel Studios; Directors: Kate Herron, Justin Benson, Aaron Moorhead, Dan DeLeeuw, Kasra Farahani; Screenwriters: Michael Waldron, Brett Maline, Tom Kauffman, Kasra Farahani, Eric Martin, Amber Dupre, Elissa Karasik, Jason O'Leary, Bisha K. Ali, Katharyn Blair; Starring: Tom Hiddleston, Owen Wilson, Jonathan Majors, Sophia Di Martino, Gugu Mbatha-Raw; Genres: Fantasy, Science-fiction, Action, Adventure; Running Time: One series – 50 minutes | All series – 5 hours;
"Loki", the second season (2023), impresses with a deep plot and character development. Tom Hiddleston shows new sides of Loki, and the retro-futuristic aesthetic creates a unique atmosphere. The series maintains intrigue and adds exciting twists, maintaining its status as one of Marvel's best projects.
Five stars — a spectacular and intense season that successfully continues the story of the first.
My rating:
⭐⭐⭐⭐⭐
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dropoutdottv · 1 year ago
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This week on Dropout: on Monday, a new Make Some Noise with Josh Ruben, Katia Kvinge, and Cameron Logsdon; on Tuesday, a new Dirty Laundry with Jacquis Neal, Brett Maline, Shakira Paye, and Lisa Gilroy; on Wednesday, episode 4 of Dimension 20: Burrow's End; on Thursday, the episode 4 Adventuring Party talkback; and on Friday, a bonus Dirty Laundry (virgin) cocktail recipe!
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charlicpace · 1 year ago
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name masterlist: love island uk edition ! some folks like to stick to names that are more 'realistic' & my favourite place to look for those names is reality tv, because... well, that's their names ! so here's a list of every name that's ever popped up on the uk version of love island ( seasons 1-8 ) so all these names are perfect for characters aged 18-40 if we're going off ( uk-based ! ) actual likelihood.
aaron
abigail
adam
afia
alex
alexandra
alexi
amy
anna
andrea
andrew
anton
amber
amelia
arabella
belle
ben
bethany
billy
biggs
brad
brett
callum
cally
camilla
cara
caroline
charlie
ched
cheyenne
chloe
chris
chyna
clarisse
coco
craig
curtis
daisy
dale
dami
dan
daniel
danielle
danica
danny
darylle
davide
dean
deji
dennon
demi
dom
ellie
elma
ellisha
emma
eva
eve
ekin-su
eyal
faye
finn
francesca
frankie
gabby
gemma
george
georgia
grace
greg
hannah
harley
harry
hayley
hugo
iain
idris
ikenna
india
jack
jacques
jade
james
jamie
jake
javi
jay
jazmine
jess
joanna
joe
john
jonny
jordan
josh
kady
kalia
katie
kaz
kazimir
kem
kendall
kieran
lacey
laura
lauren
lavena
lexi
liam
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liberty
lillie
lucie
lucinda
luis
luke
malia
malin
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marino
maura
maria
mary
marvin
matthew
maya
max
medhy
megan
michael
mike
molly
montana
nabila
naomi
nas
natalia
nathan
niall
olivia
oliver
ollie
omar
ovie
paige
paul
poppy
priscilla
priya
sam
salma
samira
savanna
scott
shannen
shaugna
sharon
sherif
siannise
simon
sophie
summer
stephanie
stevie
steve
rachel
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remi
reese
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teddy
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tommy
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tyla
tyler
tyne
wallace
wes
yewande
zara
zoe
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lokiondisneyplus · 2 years ago
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Writing staff credits for Loki S2, from the WGA site.
Ep 2-3 does not have its writers' credits finalized yet, though that could be soon. There was a gap with some of the episodes in season 1, as well.
Congratulations to production designer Kasra Farahani (who will still be PD for S2, afaik) for the promotion to being a staff writer on the show.
And welcome to Katharyn Blair, Rachel Sydney Alter and Brett Maline.
(Brett has posted about working on Loki in his Twitter bio.)
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lignes2frappe · 4 months ago
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LE TRÈS CULTE ABÉCÉDAIRE DE « PULP FICTION »
Sorti le 26 octobre 1994 dans les salles françaises, le plus culte des films cultes fête ses 30 ans...
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A comme Amsterdam
De retour aux États-Unis depuis quelques jours à peine au début de Pulp Fiction, Vincent Vega vient de passer trois ans dans la capitale hollandaise. Pourquoi est-il parti là-bas ? Et qu’a-t-il pu bien faire de ses journées à part s’enfiler des Royal Cheese et picoler de la bière au cinéma ?
A priori rien bien légal si l’on en croit Paul, le barman du club de striptease tenu par Marsellus Wallace, qui le présente comme leur « agent » sur place – « Yo! Vincent Vega's in the house! Our man in Amsterdam! ».
Une piste confirmée par Quentin Tarantino quelques années plus tard.
Envisageant un temps de se lancer dans un préquel de Reservoir Dogs et Pulp Fiction intitulé The Vegas Brothers/Double V Vega dans lequel Monsieur Blonde/Victor Vega aurait fait équipe avec Vincent (ils sont frères), une fois le projet abandonné, le réalisateur a révélé que dans le script ce dernier s’occupait de faire tourner un bar pour le compte de son patron
Spoiler : pas dit qu'il n’y ait pas eu du grabuge (lire plus bas).
B comme Big Kahuna Burger
La chaîne de restauration rapide hawaïenne immortalisée dans cette scène où Jules tape avec enthousiasme un croc dans le burger du pauvre Brett, avant de lui cribler le corps de balles.
Tout comme les cigarettes Red Apple, la compagnie aérienne Cabo Air, les donuts Teriyaki, la tequila Benny’s World ou la pâtée pour chiens Wolf’s Tooth, il s’agit d’une marque fictive née de l’imagination de Quentin Tarantino.
Une recette dudit burger existe cependant bel et bien et serait à base d’ananas. Est-ce pire péché que de tremper ses frites dans la mayonnaise ? Le débat est ouvert.
C comme Chronologie
Et si Pulp Fiction se regardait de manière linéaire ?
Pour qui voudrait remonter le film à l’endroit, tout commence avec le monologue du capitaine Koons sur la montre en or. L’action à proprement parlé se déroule une trentaine d’années plus tard et s’étale sur 48 heures.
Jules et Vincent s’en vont dézinguer une bande d’étudiants. Jules voit la lumière. Vincent shoote Marvin. Wolf arrive à la rescousse. Yolanda et Ringo décident de braquer le restaurant dans lequel Jules et Vinent prennent leur petit déjeuner en shorts et t-shirts. Nos deux larrons remettent la mallette à Marsellus. Vincent raye la caisse de Butch, part s’acheter 300 dollars d’héroïne et emmène Mia danser. Au même moment, Butch déjoue les pronostics sur le ring en tuant son adversaire.
Le lendemain, Marsellus et Vincent s’en vont lui causer du pays. Ce dernier dézingue alors Vincent, récupère sa montre, puis sauve Marsellus d’un guet-apens dans l’arrière salle de la boutique d’un prêteur sur gage. Il rejoint ensuite Fabienne sur la motocyclette le chopper de Zed avant de voguer vers de nouveaux horizons.
Ou pour le dire autrement : « Pulp Fiction commence au milieu, revient en arrière, puis en avant de plus en plus loin dans le temps, afin de retourner et de se conclure au milieu. »
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D comme Dialogues
Si Pulp Fiction dure 2 heures 34 minutes sans que l’on regarde sa montre (et aurait pu sans problèmes durer deux heures de plus), l’immense mérite en revient aux dialogues. Plus encore que l’histoire, ce sont eux qui structurent et font avancer le film.
Longue conversation entre ses personnages, Pulp Fiction se savoure comme une succession de digressions sur tous ces détails du quotidien qui n’en sont pas (les anecdotes de voyage, la pop culture, le prix des milkshakes...) dans un parler qui, bien que travaillé, sonne naturel – enfin des dialogues de cinéma qui ne ressemblent pas à du mauvais théâtre ou à du faux cool de teenage movies.
Quentin Tarantino, le Céline du septième art ?
E comme Ezekiel 25:17
« La marche des vertueux est semée d'obstacles/Qui sont les entreprises égoïstes/Que fait sans fin surgir l'œuvre du malin… », vous connaissez la suite.
Sauf que la tirade récitée in extenso par Jules avant de faire parler la poudre ne correspond que très vaguement au 17e verset du 25e chapitre du Livre d'Ézéchiel (bizarrement traduit par « verset 10 » en français).
Jugez plutôt : « Parce que les Philistins se sont livrés à la vengeance, et qu’ils se sont vengés à outrance, le mépris dans l’âme, pour exterminer, haine éternelle. À cause de cela, je vais étendre ma main contre les Philistins. J’écraserai les Crétois et détruirai le reste qui habite le rivage de la mer et j’exercerai sur eux de grandes vengeances, les châtiant avec fureur. Et ils sauront que je suis l’Éternel quand je leur ferai sentir ma vengeance. »
Cette réécriture n’est cependant pas due à Tarantino, elle est « empruntée » au film Karaté Kiba sorti en 1973 avec Sonny Chiba dans le rôle principal (Hattori Hanzo dans Kill Bill).
F comme Fiction Pulpeuse
Installé à Amsterdam où, grâce à l’argent de Resevoir Dogs, il peut d’adonner sans relâche à l’écriture pendant trois mois, Quentin Tarantino souhaite dans un premier temps porter sur grand écran une trilogie de films de gangsters.
Inspiré par les pulps, « ces publications macabres imprimées sur un papier bon marché » très populaires au début du 20e siècle, l’idée lui vient ensuite de ramasser le tout dans un seul script.
« Je voulais faire ce que font les romanciers mais pas les réalisateurs : raconter trois histoires distinctes avec des personnages qui vont et viennent dans chacune d'entre elles, mais dont l'importance diffère selon l'histoire ».
Et c’est ainsi qu’est né Pulp Fiction, cette relecture des trames de films noirs les plus éculées (le casse qui tourne mal, la liaison entre la femme du boss et son homme de main, le combat de boxe truqué...) devenue à sa manière le film noir ultime.
Notez qu’outre le titre qui référence directement ladite littérature pulp, l’affiche reprend le code couleur délavé de ses couvertures, tandis qu’Uma Thurman a la main posée sur l’un de ses fleurons, Harlot In Her Heart! de Norman Bligh (1950). Dans le film, Vincent est également vu régulièrement bouquiner Modesty Blaise de Peter O'Donnell (1965), les aventures d’une espionne britannique au passé trouble.
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G comme Générique
Quentin Tarantino a-t-il oui ou non écrit seul le scénario de Pulp Fiction ?
Si les premières secondes du générique d’ouverture promettent « Un film de Quentin Tarantino », quand la musique passe de Dick Dale à Kool and the Gang, ce sont des « Histoires de Quentin Tarantino et Roger Avary » qui sont annoncées.
Pote de QT avec qui il bossait à l’époque des vaches maigres dans le magasin de location de cassettes Video Archives, Roger Avary aurait plus ou moins écrit le sketch sur la montre. Désireux d’appuyer la réputation de petit prodige de Tarantino en le présentant comme seul aux commandes de Pulp Fiction, Miramax lui offre de renoncer à tout cocrédit en échange d’un chèque. Ce qu’Avary refuse.
Un compromis est finalement trouvé pour que la mention « Écrit et réalisé par Quentin Tarantino » apparaisse dans le générique de fin et puisse être utilisée dans la campagne promo.
Ce deal un peu bancal provoque une brouille entre les deux amis, Tarantino « omettant » de remercier Avary aux Golden Globe après avoir reçu le prix du meilleur scénario. Vexé, quand les deux hommes remportent l’Oscar du meilleur scénario, Avary, qui est cette fois crédité comme coscénariste (oui, c’est compliqué), se venge en payant « 500 dollars » le caméraman chargé de filmer Tarantino lors de la retransmission télé pour qu’il le coupe à l’image à l’annonce de son nom – ce qu’il a fait.
Une fois monté sur scène, au lieu de se fendre d’un discours, Avary s’éclipse au plus vite, prétextant « devoir aller p*sser ».
H comme Hitler
Chez Quentin Tarantino, deux univers distincts s’entremêlent : l’univers réel et l’univers cinématographique.
Ou pour citer le Christ : « L’univers réel est celui dans lequel les personnages de la vraie vie évoluent (ceux de Reservoir Dogs, ceux de Pulp Fiction…). L’univers cinématographique est un univers spécial composé de films, comme Kill Bill ou Une nuit en enfer. Ainsi quand les personnages de Reservoir Dogs ou de Pulp Fiction vont au cinéma, ils vont voir Kill Bill ou Une Nuit en enfer. »
Pour la faire courte (pour la version longue, c’est ici), sachez que tous les films de l’univers réel s’imbriquent.
Pulp Fiction est connecté à Reservoir Dogs via les frères Vega. Reservoir Dogs est connecté à True Romance via la référence faite au personnage d’Alabama (Patricia Arquette). True Romance est connecté à Inglorious Basterds via les liens de parenté du producteur Lee Donowitz avec « l’Ours juif » Donny Donowitz, et ceux du colocataire stoner Floyd Raine avec le Lieutenant Aldo Raine (tous deux interprétés par Brad Pitt).
Et oui, Pulp Fiction se déroule dans un monde où le dictateur nazi est mort mitraillé et brûlé dans un cinéma parisien.
I comme Impact de balles
Dans la dernière scène de Reservoir Dogs, celle où Joe, Eddie-le-gentil (Chris Penn) et M. White (Harvey Keitel) s’entretuent après avoir chacun dégainé leurs armes, Eddie ne se fait en réalité pas tirer dessus.
« Harvey Keitel devait d’abord viser Lawrence Tierney, puis moi, puis se faire descendre. Mais son explosif s’est déclenché directement avec avoir tiré sur Lawrence, et il est parti vers le bas » a révélé Chris Penn quelques années plus tard.
Plutôt que de corriger cette « erreur », Quentin Tarantino a préféré laisser les choses telles quelles afin de laisser libre cours aux spéculations – « Tu sais quoi ? Ce sera la controverse du film, ça fera parler. »
Libre donc à chacun de penser que si le mur de l’appartement de Brett est troué avant même que Jules et Vincent ne se soient fait canarder par Jerry Seinfeld, il ne s’agit peut-être pas d’une faute de raccord, mais d’une volonté de sa part d’alimenter les conversations.
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J comme Jack Rabbit Slim
Non, Vincent et Mia n’ont pas remporté le concours de twist du restaurant le plus fifties de Los Angeles. Malgré leur emballante prestation, s’ils sont aperçus rentrant chez eux le trophée sous le bras, c’est parce qu’ils l’ont volé.
Plus tard dans le film, lorsque Butch revient dans son appartement, l’information peut être entendue dans un flash info en fond sonore.
À cinq dollars le milkshake, nos deux filous n’allaient quand même pas repartir les mains vides.
K comme Ketchup
Joie du doublage, la blague que Mia raconte à la fin de la soirée n'est pas la même en français et en anglais. Là où dans la langue de Shakespeare, Vincent a droit à jeu de mot intraduisible sur l'homophonie entre le mot « ketchup » et l'expression « catch up » (« dépêche toi »), la VF est partie dans une toute autre direction.
« Trois tomates se baladent dans l'avenue. Papa tomate, Maman tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : 'Qu'est ce que t'as ? T'es tout rouge !'. »
L'effet comique repose sur le fait que Bébé tomate est une tomate et qu’il st rouge quoi qu'il arrive. Problème, une tomate au tout premier stade de maturité n'est pas rouge, mais verte blanchâtre.
Du coup, soit Bébé tomate est rouge et ce n’est plus un bébé (Papa tomate n’a donc pas à le corriger), soit Bébé tomate est vraiment un bébé, et qu'il passe du vert au rouge devant les belles nanas n’a rien de drôle (car tout à fait normal).
Bon après, pas de quoi considérer que regarder Pulp Fiction en français constitue le huitième péché capital. Là où sur le papier restituer le flow d'un film où l'on cause tant tenait de la mission impossible, les comédiens de doublage s'en sont tirés avec les honneurs – Thierry Desroses en tête, la voix de Samuel L. Jackson, dont c'était le tout premier rôle !
L comme Louise Brook
Désormais grand classique d’Halloween, le look « Reservoir Dog au féminin » de Mia (chemisier blanc à boutons de manchette, pantalon noir 7/8 et ballerines Chanel dorées) ne serait pas sans son fameux carré à frange qui a fait tant d’émules (Natalie Portman dans Léon, Audrey Tautou dans Amélie Poulain, Rinko Kikuchi dans Pacific Rim...).
Uma Thurman n’est toutefois pas la première actrice à avoir popularisé cette coupe. Loin de là. L’honneur revient à Louise Brook qui, en 1929, l’arborait dans le film Loulou où elle incarnait une jeune femme libérée et hédoniste.
Symbole d’émancipation, ce « casque noir » aux airs androgynes traverse depuis les époques (Anna Karina dans Vivre sa vie de Jean-Luc Godard en 1962, Liza Minnelli dans Cabaret en 1972, Bella Hadid...).
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M comme Massage de pieds
Passé le casting exclusivement masculin de Reservoir Dogs, Quentin Tarantino s’est offert avec Pulp Fiction une scène coming out dans laquelle Vincent soutient que « glisser la langue dans le sanctuaire des sanctuaires » et masser les pieds d’une femme relève du même ordre.
Tout reposerait sur une tension sexuelle qui ne dit pas son nom (« Personne ne dit rien, mais tu le sais. Et elle aussi, elle le sait. ») – raison pour laquelle, selon lui, le pauvre Tony Rocky Horror qui se serait aventuré à masser les attributs de Mia ne s’est pas fait balancer sans raison d’une fenêtre au troisième étage par les hommes de son mari.
Absolument pas anodine, cette scène annonce une figure majeure de sa filmographie : le plan resserré sur les pieds nus de ses actrices. Uma Thurman, Bridget Fonda, Rosario Dawson, Diane Kruger, Margot Robbie ou encore Margaret Qualley (pourtant « mortifiée » à l’idée de montrer ses pieds) y ont toutes eu droit, qu’importe que cela serve l’intrigue ou non.
Totalement décomplexé sur le sujet, dans Une Nuit en enfer, Tarantino est allé jusqu’à s’écrire une scène où Salma Hayek/Santanico Pandemonium lui enfonce son vernis dans la bouche.
N comme Nouvelles générations
N’en déplaise aux mecs qui en 1994 étaient plus cools que Fonzie mais qui en 2024 le sont beaucoup moins, Pulp Fiction n’est plus le totem qu’il a été.
Jugé « surcoté » par une partie de la génération Snapchat/TikTok, il serait, selon leurs dires, trop lent, trop long, trop bavard. Film sans sujet (« Bordel, mais de quoi ça parle ? »), voire film hors sujet (« Les histoires sont mal reliées entre elles. En sortant du film, on ne se souvient même pas du sort des personnages à la fin »), il cacherait sa vacuité derrière des effets de manche vus mille fois depuis trente ans.
Ovni rock’n’roll et irrévérencieux à sa sortie, à force d’unanimité, Pulp Fiction sera-t-il un jour à ranger aux côtés de ces chefs-d’œuvre poussiéreux que plus personne ne regarde ?
O comme Overdose
Lorsque que, quelques années avant Pulp Fiction, Quentin Tarantino a présenté le scénario de Reservoir Dogs à Harvey Keitel, l’acteur, surpris par son degré d’authenticité et de détails, lui demande « s’il a grandi entouré de racailles et de truands ?? ». Candide, QT lui rétorqua qu’il a « juste maté un paquet de films ».
Encyclopédie du cinéma, Tarantino vit dans la fiction. Ses films référencent d’autres films, pas le réel.
Exemple avec l’une des scènes phare de Pulp Fiction, celle où Vincent plante une aiguille en plein dans le sternum de Mia pour la faire revenir d’entre les morts, qui n’est que vaguement crédible.
Déjà, parce que sniffer de l’héroïne est paradoxalement « moins dangereux » que de sniffer de la cocaïne – la poudre se dilue dans le système digestif, ce qui ralentit fortement son absorption par l’organisme, diminuant les risques d’overdose.
Ensuite, parce que l’adrénaline n’est pas la substance adéquate pour renverser les effets d'une surdose d'opioïdes – au cas où, préférez lui la naloxone.
Enfin, parce que toute l’idée de la séquence n’est pas venue à Tarantino en feuilletant un précis de médecine, mais en discutant avec l’équipe des Aventures du baron de Münchhausen (le film de Terry Gilliam dans lequel Uma Thurman se montre nue en Vénus de Botticelli) : « Ils m’avaient raconté l’histoire d’un tigre sur un tournage en Espagne à qui ils avaient donné trop de sédatifs pour qu’il reste calme. Ils avaient dû lui injecter de l’adrénaline pour qu’il se réveille. »
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P comme Palme d’Or
Lorsque le 23 mai 1994, Clint Eastwood, président du jury de la 47e édition du festival de Cannes, annonce la victoire de Pulp Fiction, un vent de surprise s’empare l’assistance : Quentin Tarantino, 32 ans, vient de faire la nique aux pointures internationales Krzysztof Kieslowski (Rouge), Nanni Moretti (Journal intime), Nikita Mikhalkov (Soleil trompeur), Zhang Yimou (Vivre !) et Atom Egoyan (Exotica) !
Si pour Eastwood la décision serait allée de soi (« C'était un film excitant et rafraîchissant. Quand les jurés se sont retrouvés pour décider, tout le monde était unanime pour dire que c'était le meilleur film. »), Catherine Deneuve, vice-présidente du jury, tempérera cette belle version des années plus tard (« Clint Eastwood était très protégé par son staff de la Warner, donc souvent coupé du reste du jury. On ne se voyait pas assez, et nous avons sans doute délibéré trop vite. […] Que voulez-vous répondre à des Anglo-Saxons que Journal intime ennuie profondément ? »).
Plus diplomate, dans ses mémoires, le président du festival Gille Jacob regrettera à demi-mots que le grand favori Kieslowski soit reparti les mains vides : « Entre la Russie impériale aux parfums nostalgiques et l’art du feuilleton populaire à la violence speedée, Clint avait parié sur l’avenir et pesé de tout son poids en faveur du feuilleton. »
Q comme « Qu’y a-t-il dans cette foutue mallette ? »
Objet de toutes les convoitises, le contenu de l’attaché-case de Marsellus Wallace demeure un mystère.
Plusieurs théories ont donc vu le jour : il s’agirait de l’âme maléfique de son propriétaire qui aurait fuité (d’où son pansement derrière la tête, d’où le 666 comme code d’ouverture), des diamants de Reservoir Dogs (aperçu en serveur grimé en Buddy Holly au Jack Rabbit Slim, M. Pink/Steve Buscemi a-t-il depuis refait sa vie incognito ?) ou du costume doré d'Elvis Presley porté par Val Kilmer dans True Romance.
Ou alors, elle contient tout bêtement deux piles et une ampoule.
R comme Rédemption
Pour Samuel L. Jackson, ce serait la morale de Pulp Fiction.
« Les gens qui méritent d’être sauvés le sont. Pumkin et Honey Bunny, sont épargnés. Ils ont une seconde chance. Uma passe tout près de la mort. Elle ne meurt pas. Butch aussi a une seconde chance. Même Marsellus Wallace y a droit. »
Si l’analyse est corroborée par l’arc de son personnage, ainsi que par Tarantino en personne (« C’est explicite tout au long du film »), elle ne saute cependant pas franchement aux yeux.
Ce serait même plutôt l’inverse à en lire La Philosophie du film noir de Mark T. Conard, pour qui, Pulp Fiction se veut une parabole sur le nihilisme de la société américaine.
« Le vide existentiel qui habite les personnages procède de l’absence de structures autres que celles qui établissent un rapport basé sur la force. Incapables de produire un jugement autre que celui dictée par cette valeur, cette dernière est le seul critère qui guide leurs vies. »
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S comme Série B
Déflagration sans nom à sa sortie, à la manière d’un Star Wars ou d’un Matrix, Pulp Fiction a initié une révolution comme on en voit une tous les dix ans en donnant ses lettres de noblesse à la culture bis.
Méprisée depuis toujours, cette dernière trouve alors en Tarantino son héraut... pour le meilleur et pour le pire.
Confondu un peu trop rapidement avec du génie (le critique Jean-Michel Frodon déplorait à l’époque « qu’une désinvolture quelque peu arrogante, faite d'une accumulation de bons mots, de vedettes et de scènes-choc, passe pour le fin du fin de la mise en scène »), son talent pour le recyclage est en effet de celui qui horizontalise tout. De celui qui met sur un pied d’égalité l’essentiel et l’accessoire. De celui qui permet aux cinéphages de se croire cinéphiles. De celui qui transforme toujours un peu plus le septième art en produit de consommation courante.
Au-delà de ses qualités intrinsèques, Pulp Fiction marque le point de départ de cette pop culturisation à grande échelle de la culture.
Marvel, Netflix et les youtoubeurs cinoche lui doivent beaucoup.
T comme Tarantinesque
Victime de son succès, le back-to-back Reservoir Dogs/Pulp Fiction a très vite engendré une vague de copiés/collés telle qu’est né l’adjectif « tarantinesque » (« tarantinoesque » en VO).
Pas gêné pour un sous que « pendant cinq ans, tous les films de gangsters mélangent ironie, discussions sur les séries télé et musique en toile de fond », Quentin Tanrantino considère au contraire que tous ses imitateurs « rendent par comparaison ses films meilleurs ».
À sa décharge, à quelques exceptions près (Arnaques, Crimes et Botanique de Guy Ritchie, Dernières Heures à Denver avec Andy Garcia, Get Shorty avec John Travolta, Freeway avec Reese Whiterspoon...), tous sont tombés dans l’oubli.
« Tarantinesque » est en revanche rentré dans le très prestigieux dictionnaire d’Oxford en 2018. Il caractérise « des films qui ressemblent aux films de Quentin Tarantino », « des films où la violence est stylisée, où le ton est satirique, où les histoires sont non linéaires, où les références cinématographiques pullulent et où les dialogues sont aiguisés ».
U comme Univers parallèles
Et si Pulp Fiction était un multivers à lui tout seul ?
Là où le spectateur lambda est en droit de s’étonner que chaque trame repose sur des évènements qui n’ont qu’une chance infime de se produire (les coups de feu qui n’atteignent pas Jules et Vincent, Butch qui oublie sa montre, Mia qui se trompe de sachet, Marsellus qui se fait déflorer dans une cave…), les plus avertis ont remarqué qu’avant chacun desdits évènements, l’action qui le préc��de est légèrement altérée (la phrase prononcée par Yolanda au début et la fin du film n’est pas identique, le nombre de balles restant dans le barillet de Jules varie...).
De là à penser que chaque chapitre prend place dans une réalité alternative et que Pulp Fiction se veut une réflexion sur les méandres du destin, il n’y a qu’un pas.
V comme Vincent Vega
Le compère de Jules est-il le tueur à gage le plus incompétent de Los Angeles ?
Clairement pas le canard le plus futé de la mare, camé à l’héroïne, il foire dans les grandes largeurs toutes les tâches qui lui sont confiées.
Il oublie d’inspecter la pièce juste derrière lui dans l’appartement tandis qu’un type armé jusqu’aux dents s’y planque (sans « intervention divine » Jules et lui ne seraient plus). Il tire accidentellement une balle en plein dans la tronche de ce pauvre Marvin (le b.a.-ba du maniement d’arme à feu veut que l’on ne pointe jamais quelqu’un, et encore moins avec le doigt sur la détente). Il cherche inutilement des noises à Winston Wolfe pourtant venu le dépêtrer en urgence.
Ça, plus le temps fou qu’il passe aux toilettes, source de drames en cascade (Ringo et Yolanda qui braquent le restaurant, Mia qui fait une overdose, Bruce Willis qui se saisit du Mac-10 laissé sans surveillance).
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W comme Winston Wolfe
Deux ex machina, il surgit de nulle part (et en smoking) lors de la Bonnie Situation, pique la vedette à tout le reste du casting dix minutes durant, avant de repartir aussi sec on ne sait où (et avec une fille à son bras).
Qui est-il ? D’où vient-il ? Comment a-t-il appris à nettoyer des banquettes de voiture tâchées d’éclats de cervelle ? Les réponses ce sera pour une autre fois, tout juste aura-t-on le loisir d’apprécier que personne au monde n’a l’air plus calme et plus déterminé que lui tasse de café en main.
En même temps, qu’attendre d’autre d’un type qui « pense vite », « parle vite » et qui se fait surnommer sans une once d’ironie « Le Loup » ?
X comme Miramax
Pulp Fiction a couté 8,5 millions de dollars, a été tourné « comme s’il coutait 25 millions de dollars » dixit Tarantino, et a rapporté 214 millions de dollars rien qu’en salle.
« Film indépendant le plus rentable de l’histoire », il a relancé la carrière de John Travolta, donné un second souffle à celle de Bruce Willis, et propulsé Samuel L. Jackson et Uma Thurman au rang de stars.
Son succès a aussi et surtout ouvert la voie aux frères Harvey et Bob Weinstein (oui, le Harvey Weisntein prédateur et violeur aujourd’hui en prison) pour écrire l’une des plus belles pages de l’histoire Hollywood.
Fondé en 1979 dans le but de financer les films que les grands studios refusent de financer, Miramax venait en effet de passer à deux doigts de la banqueroute. Racheté par Disney un an plus tôt, Pulp Fiction l’a affranchi de la tutelle de la firme aux grandes oreilles.
Cette liberté artistique a ainsi permis aux deux frères de régner sur les années 90 avec des films plébiscités tant par le public que par la critique (Clercks, Le Patient anglais, Will Hunting, Scream, Shakespeare in Love, Fahrenheit 9/11…).
Vantard, Tarantino a longtemps claironné : « C’est moi qui ai bâti Miramax, je suis leur Mickey Mouse. »
Y comme You Can Never Tell
La chanson de Chuck Berry sur laquelle se trémoussent Mia et Vincent.
Gros hit en 1964, elle conte sur un air de piano l’histoire de deux adolescents qui se marient, deviennent des « monsieur et madame » (en français dans le texte), et pour qui la vie se déroule de la façon la plus douce qui soit (ils achètent un petit meublé, conduisent une décapotable rouge et collectionnent les disques de rock).
Détail beaucoup moins feel good : Chuck Berry a écrit et composé You Can Never Tell alors qu’il purgeait une peine de 20 mois de prison pour corruption de mineure – il avait tenté de ramener de Mexico une fille de 14 ans dans sa voiture pour la faire travailler dans son club de Saint-Louis.
Rapporté au thème, difficile de séparer l’œuvre de l’artiste.
Z comme Zed
Dans Pulp Fiction, dire de la police qu'elle se fait discrète est un euphémisme : Vincent et Jules vident tranquillement leurs chargeurs dans une résidence sans que personne ne s'en émeuve, Marvin se fait exploser la cervelle en plein jour à l'arrière d’une voiture, il est possible de prendre le temps de disserter sur la Bible en plein braquage, etc.
Seule exception, Zed, le flic sodomite qui initie Marsellus aux plaisirs du coffre sans trop se soucier de son consentement.
Du genre rancunier, une fois ce dernier remis de ses émotions, il balance LA réplique que tout le monde a appris par cœur au moins une fois dans sa vie.
« Maintenant quoi ? Je m’en vais te le dire moi quoi ! J’appelle deux experts complètement défoncés au crack qui vont travailler nos deux copains. Avec une paire de pinces, un chalumeau et un fer à souder. Est-ce que tu m’as entendu ! Espèce de porc ! Je suis très loin d’en avoir fini avec toi ! Je vais te la jouer à la flamme bien moyenâgeuse ! »
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Septembre 2024
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jaded-idealism · 4 years ago
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Via Lulu Bernard’s Instagram Story- June 8th, 2021
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gettothedancing · 7 years ago
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When YouTuber Richard C. Meyer launched his crowdfunding effort for his new comic, “Jawbreakers: Lost Souls,” he had no idea it would make more than $250,000 and sell more than 6,300 copies. These numbers place his independent book at the very top of the graphic novel market, something only the biggest Marvel or DC branded books have achieved.
Meyer hired industry veterans Jon Malin and Brett R. Smith, both former Marvel Comics professionals, to draw and color the project, but even with top-tier artistic talent, Jawbreakers sold at these levels more, perhaps because fans wanted to send a message to the comics industry: It’s time to stop force-feeding extreme left-wing politics to customers.
Even with its tremendous success, Jawbreakers’ distributor Antarctic Press said they won’t distribute the series in an ominous post on their Facebook page Friday: “It is the decision of Antarctic Press not to release the comic series Jawbreakers.”
Their backtracking had big implications for Meyer and his team, as the book would no longer be distributed to comic book stores. But there was little they could do about it. Antarctic Press was hit by a storm of industry professionals colluding to try to force conservative-authored competition out of the business, which was followed by several retailers threatening to drop all Antarctic Press books from their shelves if the publisher produced Meyer’s book.
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bskarsdaily · 4 years ago
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 Soulmates 2020
Episodic Anthology Series
*Worldwide Rights*
Network | AMC
Episode Count
Season 1 | 6x60 (2020)
Season 2 | 6x60 (2021 TBC)
Creators & Executive Producers | Emmy®-Award winning Will Bridges (Black Mirror, Stranger Things), Brett Goldstein (Superbob, Adult Life Skills)
Cast | Sarah Snook (Succession, The Dressmaker, Steve Jobs), David Costabile (Breaking Bad, Billions), Sonya Cassidy (Lodge 49, Humans, The Woman in White), Charlie Heaton (Stranger Things), Malin Akerman (Billions, Dollface, Rampage), Kingsley Ben-Adir (OA), Betsy Brandt (Breaking Bad, Life in Pieces), JJ Feild (Turn) and more
Set fifteen years into the future, when science has made a discovery that changes the lives of everyone on the planet – a test that unequivocally tells you who your soulmate is. Each episode features a different cast and explores an entirely new story around discovering (or opting not to discover) the results of this new test and the impact of those results on a myriad of relationships.
The series stars Sarah Snook (Succession), Kingsley Ben-Adir (The OA, High Fidelity), David Costabile (Billions), Sonya Cassidy (Lodge 49, Humans), Charlie Heaton (Stranger Things), Malin Akerman (Billions, Dollface), Bill Skarsgård (Clark, Castle Rock), Betsy Brandt (Breaking Bad, Life in Pieces), JJ Feild (Turn), Darren Boyd (Killing Eve), Dolly Wells (Can You Ever Forgive Me?), Karima McAdams (Deep State), Laia Costa (Victoria), Shamier Anderson (Goliath), Georgina Campbell (Black Mirror), Henry Goodman (The New Pope), Sofia Oxenham (Poldark), Nathan Stewart-Jarrett (Candyman), Sandra Teles (Black Mirror: Bandersnatch), Letty Thomas (Emma) and Adam El Hagar (Tyrant), among others.
Source: AMC Studios
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jjfeildd · 5 years ago
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‘Soulmates’: Charlie Heaton, Malin Akerman, Betsy Brandt & JJ Feild To Star In AMC Anthology Series
Strangers Things’ Charlie Heaton, Billions’ Malin Akerman, Breaking Bad’s Betsy Brandt and Turn’s JJ Feild are to star in AMC’s anthology series Soulmates. (...)
The series, which explores the nature of romantic love and the intersection of science, written by Will Bridges, who has written for Stranger Things and Black Mirror and Brett Goldstein (Superbob). It is produced by Banijay’s Fearless Minds and the series, which is set to air later this year, is based on Bridges and Goldstein’s short film For Life.
Co-created by Bridges and Goldstein, each episode will feature an entirely new story and different cast, a first-time format for AMC. The series takes place 15 years from now, when science makes a discovery that changes the lives of everyone on the planet – a way to find your soulmate. The series uses the sci-fi conceit to tell six provocative stories about the cost of finding true love, all different in tone and featuring a spectrum of people and relationships. Bridges and Goldstein executive produce with Jolyon Symonds via Fearless Minds. (...)
In another episode, Brandt will play Caitlin, a push-over who, after discovering her soulmate, starts to finally stand up for herself. Joining Brandt are [JJ] Feild as Nathan, who has a dark side and decides to share it when he meets his match Caitlin; and Tom Goodman-Hill (Cheat), as Doug, Caitlin’s dependable and dependably unromantic boyfriend. (...)
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marcovaleyeah · 20 days ago
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21.12.24
#Marco-Marathon | MCU
TV series Name: Loki | Season 1 (2021); Production studios: Marvel Studios; Directors: Kate Herron, Justin Benson, Aaron Moorhead, Dan DeLeeuw, Kasra Farahani; Screenwriters: Michael Waldron, Brett Maline, Tom Kauffman, Kasra Farahani, Eric Martin, Amber Dupre, Elissa Karasik, Jason O'Leary, Bisha K. Ali, Katharyn Blair; Starring: Tom Hiddleston, Owen Wilson, Jonathan Majors, Sophia Di Martino, Gugu Mbatha-Raw; Genres: Fantasy, Science-fiction, Action, Adventure; Running Time: One series – 50 minutes | All series – 5 hours;
Loki Season 1 (2021) is Marvel's fresh and original take on the series genre. Tom Hiddleston makes a brilliant return as Loki, exploring new facets of his character. The plot revolves around the TVA (Time Variation Control), which regulates the flow of time, plunging Loki into the chaos of alternate realities.
The series is distinguished by unique aesthetics, deep dialogues and an unpredictable plot. Owen Wilson as Mobius adds humor and charm, and Sophia Di Martino as Sylvie expands the concept of Loki.
Five Stars — exciting, but sometimes overloaded with exposition. A great start to the multiverse.
My rating:
⭐⭐⭐⭐
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dropoutdottv · 1 year ago
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Lift your glasses, we've got a new season of Dirty Laundry premiering on Dropout on September 12th! With host Lily Du, bartender Grant O'Brien, and a few secret-sharing friends: Vanessa Guerrero, Persephone Valentine, Desmond Chiam, Sam Riegel, Liam O'Brien, Anjali Bhimani, Matthew Mercer, Kassem G, Whitney Moore, Mica Burton, Johnny Stanton, Jess Ross, Hector Navarro, Ally Beardsley, Erika Ishii, Anthony Burch, Beth May, Will Campos, Fiona Nova, Shakira Ja'nai Paye, Brett Maline, Jacquis Neal, Alice Stanley, Kimia Behpoornia, Lisa Gilroy, Eli Gonzalez, Claudio Saavedra, Anna Salinas, Heather Higginbotham, Dylan Adler, Michael Henry, Zac Oyama, Kendahl Landreth, Sarah Schauer, Gina Darling, Paul F. Tompkins, Patrick McDonald, Aabria Iyengar, Katie Marovitch, Oscar Montoya, David Kerns, Ebony Elaine Hardin, Chloe Badner, Kyle Rohrbach, Alaska Thunderfuck, Monét X Change, Jujubee, and Katya!
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d-criss-news · 6 years ago
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Via Britney Coleman, Erich Bergen, Jwan Yosef, Matt Beckley, Jodi Benson, Cole Ramstad, Molly Texeira-Torres & Brett Maline’s Instagram Story (September 17-18th, 2018)
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lezwatchtv · 2 years ago
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Bad Sisters
Bad Sisters (originally titled Emerald) is an Irish dark comedy thriller television series developed by Sharon Horgan, Dave Finkel, and Brett Baer. Set in Dublin, it is based on the Flemish series Clan, which was created by Malin-Sarah Gozin. The series was filmed in Ireland. A delicious blend of both dark comedy and thriller, Bad Sisters follows the lives of the Garvey sisters, who are bound…
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darrencrissource · 6 years ago
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Darren via Britney Coleman, Erich Bergen, Jwan Yosef, Matt Beckley, Jodi Benson, Cole Ramstad, Molly Texeira-Torres & Brett Maline’s Instagram Story
September 18, 2018
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Thanks @thespiritualmultinerd for the tag! ^^
rules: we’re snooping on your playlist. set your entire library on shuffle and report the first 10 songs that pop up, then choose 10 victims.
“That’s What’s the Matter With Me” - Gene Malin
“My Girl’s Pussy” - Harry Roy & His Orchestra (omg these first 2. XD)
"Songbird” - Fleetwood Mac
"Wild Eyes - Mariee Sioux
"Forget Myself” - Imani Coppola
"Sweetest Revenge” - Kim Fox
"Favorite Color” - Joni Mitchell
"It’s Beyond Me” - Vetiver
"Jokerman” - Bob Dylan
"Make A Change” - Buckwheat Zydeco
who are u dating: anyone who uses the words “I’m no spring chicken” automatically gets dated to being born before 1960 in my mind
full name: .... tremendousdetectivetheorist
nickname: I don’t really have one, but ‘tdt’ works as an abbreviation
battery percentage: 100%
do you miss ur last relationship: ...why u ask this ;_;
ex you would take back: Nope!
crush’s name: Celebrity crushes totally count! Umm, and character crushes. My last real-life crush is a woman I haven’t seen in 2 years and I don’t know where she is these days, and also a guy who inadvertently hurt me but lives halfway across the country now. Better to name Hugh Laurie as Bertie Wooster as my crush! He’s fuzzy and safe. :D Oh and Bunny Manders alsdjfkskf
iphone or android: (ah, the 2 genders XD) Android.
last person i texted: Toni thespiritualmultinerd :D
last song i heard: the theme music from “Jeeves and Wooster”
guy best friend: Name is arbitrary, but I think of him more as a neighbor. He’s always willing to listen and help.
girl best friend: She’s a writer & we used to do journaling stuff together. She appreciates my mind and my goofy jokes and lives 150 miles away, darnit.
biggest fear: idk, dying alone in my apartment probably
favorite color: greens
favorite movie: Velvet Goldmine
favorite food: avocados...so creamy..mmm.
favorite anime: Princess Mononoke
favorite animal: Cats...they were my first fandom! When I was a kid I wrote cat RPF. ^_^ Now there’s a tuxedo cat in my neighborhood who follows me around and sometimes demands entry to my place. I call him Jeeves.
height: I’m 5 inches shorter than Jeremy Brett was. That tall man!
birthday: the same as Django Reinhardt and Humphrey Bogart
dream job: Book repair.
what mood i’m in now: It’s Father’s Day in the US and I feel turbulent about it for personal reasons but also because of how the holiday is treated on social media when compared to Mother’s Day, and I feel a lot of not very good things.
​Tagging @jeremyholmes @gb-crumbs @the-moon-loves-the-sea @oscartame @holmesoverture @nibblesofflesh​ @astronbookfilms @absolute-twaddle​ @alo-leme​ @srprincess​  and whoever wants to :)
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mothermaidenclone-blog · 7 years ago
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Rampage or Rock, Ape, Lizard...and a Really Big Wolf
Well, Rampage was the most fun I’ve had at the cinema in a long time. This could be thanks, in part, to having absolutely zero expectations, but I have to give credit where credit’s due, Rampage was just a really good laugh. It was unashamedly a stupid film, but didn’t - for the most part - fall prey to the many sexist tropes that unfortunately seem to come with B-movies.
*Rampage Spoilers Follow*
Although Rampage is basically about big animals smashing stuff, with a sub-plot of Davis Okoye (Dwayne Johnson) and a massive gorilla being bros, there was a female lead. Dr. Kate Caldwell (Naomie Harris) features as a capable scientist and relentless investigator, used as a scapegoat in a vast corporate conspiracy, who is determined to uncover the truth, right the wrongs that her research has been used for and clear her name. It is always wonderful to see a talented black actress take the lead in anything, especially in the genre of monster movies, which is usually dominated by swooning blonds. In alarming and spectacular news, at no point did her shirt become tactically torn - despite Kate surviving a helicopter crash - and she doesn’t snog the male lead at the end! Woohoo! Kate is introduced in a way that I feel is usually reserved for male characters; she is someone who’s fallen on hard times and is struggling to get her life back together. So, when we meet her, she is woken up late by a phone call, stumbles out of bed, throws some clothes over the underwear she was sleeping in and drinks something out of a cup that was just lying around. Whilst this is obviously not a positive portrayal of a woman, it could be a realistic one, and it’s always interesting to see female characters being given the opportunity to display stereotypically male behaviours. People aren’t straightforward and we don’t all react the same way to problems. At least it makes a difference from women being shown watching sad romance movies and eating ice cream out of the tub as their coping mechanism. Also, Kate is given plenty of time to showcase her many talents and positive attributes as the film progresses.
One of her great traits is that she continually calls Davis out on his shit. Firstly, when he and government agent Harvey Russell (Jeffrey Dean Morgan) square up for a round of macho intimidation, she interjects, “Let’s all take a breath…Or we can all get in each other’s faces and see who’s the toughest.” In addition, when Davis describes his ludicrous plan to fly a helicopter down a collapsing building as, “We just need to get enough lift to stay on top of the building as it falls, you know, just like riding an avalanche,” Kate replies with the only sane response, which is, “No, I don’t know!” There’s no implicit, doe-eyed trust in Davis’ machismo methods and madcap schemes, all of that has to be earned.
As well as an abundance of common sense, Kate also displays a number of practical skills, such as using her brain - not just brute strength - to smash a window without hurting anyone and pulling off some impressive hacking, even if it is very Hollywood silly. Therefore, Kate acts as a good counterpoint to Davis’ brawn and emotional behaviour as far as animals are concerned; she is an intelligent and rational scientist, as well as an exceedingly sensible and pragmatic human being.
Whilst Kate has to share the limelight with Davis as the hero, the antagonist of Rampage was undoubtedly a woman. Claire Wyden (Malin Åkerman) was a superb B-movie villain and mastermind. Whilst culpability was technically divided with her brother Brett (Jake Lacy), he was portrayed as an almost Shakespearian fool; comically sweating and stress eating pop tarts - another example of supposedly traditional coping mechanisms being gender swapped. Claire was two-dimensionally evil - the first thing we hear her say is, “Either you come home with my research, or you don’t come home at all,” to an astronaut on an exploding space station. Usually, this would be a bone of contention for me, but this is a B-movie, baddies aren’t supposed to be complex. I think it’s enough of a victory that she is the vastly more competent sibling by a million miles, the Brain to her brother’s Pinky if you will. Claire remains cool, collected and in control while Brett falls apart. Naturally, she doesn’t survive this - Rampage is a monster movie after all, of course she is gobbled up by a giant gorilla, what else did you expect? The factor to consider when weighing up sexism is if it’s something that only affects one gender, and in this case, the answer is no. Brett is also subjected to a gruesome comedy death; his is in fact much more visceral, he is squashed flat in a bloody mess by falling debris. So, in the eyes of Rampage at least, characters seem to be judged by their deeds, not their gender.
Two minor named female characters remain; the first is the aforementioned astronaut, Dr. Kerry Atkins (Marley Shelton). Whilst we only briefly see her before her escape pod explodes in the vacuum of space, she shows great courage and willingness to endanger herself for a greater cause. For someone who’s just a device to get some canisters to land on a bunch of animals, she is shown to be very strong in her short time on screen, it’s a shame she was killed for such an arbitrary plot point.
The second background female character is Amy (Breanne Hill), a colleague or possibly student of Davis. Amy is a bit more of a dilemma, as she is portrayed as much more capable and calm in the face of danger than her male counterpart, Connor (Jack Quaid). However, she does flirt in a really gross way with Davis, pretty much throwing herself at him and saying that she wants to learn about “submission techniques.” On the other hand, Connor is also portrayed as a bit of a reprehensible idiot, making up adventure stories to impress Amy and coming out with some fairly offensive white saviour bullshit. It could be that both of these characters simply serve to make Davis look like an all-round wonderfully good person, but a woman offering herself up to him sexually is always going to come off as creepy and seems unnecessary.
Overall, most of the women in this dumb movie are surprisingly confident and capable. They may play up to stereotypes here and there, but they’re character based ones - such as pragmatic scientist and megalomaniacal villain - rather than ones involving gender. Mostly, it was just really fun to have a guilt free laugh at a silly B-movie without having to bludgeon the bit of my brain that thinks about the representation of women into silence.
And now for some asides:
When Dwayne Johnson choked that guy out he says, “That’s a big arm, don’t fight it, sleepy time.” I really hope he talks about his body like that in real life.
Also he has like five had signals that communicate the whole of the English language? Amazing.
I really related to that guy saying, “I’ve started using vegan deodorant, I smell like guacamole.” I just had to put some vegan shampoo in the bin because it made me retch, please make things that smell nice and aren’t evil!
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